Musk vient de lancer une grenade verbale sur Bruxelles—il a littéralement qualifié leur démarche de "BULLS**T" après que l’UE a infligé une amende de $120M à X. Les crimes présumés ? Ces fameux badges bleus controversés, jugés "trompeurs" par l’UE, ainsi que le refus de X de fournir des données que les régulateurs réclament à des fins de "recherche".

Ce qui est dingue, c’est que ça ne concerne plus seulement les badges de vérification ou l’accès à l’API. L’UE dit en gros que les plateformes doivent se mettre à nu pour permettre un examen académique, tandis que le camp Musk argue qu’il s’agit d’un abus de pouvoir déguisé en transparence. La situation dégénère rapidement.

En prenant du recul ? Cette confrontation pourrait n’être que le prologue d’un conflit plus vaste—une friction cyber entre l’UE et les États-Unis qui pourrait redessiner le fonctionnement mondial des plateformes décentralisées. Si les régulateurs commencent à utiliser les règles de conformité comme des armes au-delà des frontières, cela ne touchera pas que X. Tous les projets Web3 à portée internationale feraient bien d’y prêter attention, car le manuel de jeu est en train de s’écrire en temps réel.