En un mois, je suis passé de 1 500 U à 50 000 U — ce n’est pas de la magie, c’est le résultat de ma décision, ce jour-là, de ne plus servir de chair à canon.

Quand mon compte s’est fait liquider jusqu’à ne plus avoir que 1 500 U, j’étais complètement assommé. Mais c’est aussi ce jour-là que je me suis imposé une règle d’acier : désormais, je ne ferai que des trades qui me permettent de « survivre », les rêves de richesse immédiate attendront.

**D’abord, comment survivre.**
Le capital est directement divisé en 5 parts, et à chaque fois je ne bouge que 300 U. Mauvaise direction ? Je perds 150 U et je sors tout de suite. C’est la première fois que j’ai vraiment compris : si tu ne survis pas, gagner de l’argent n’est qu’une blague.

**Ensuite, la discipline d’exécution.**
Take profit et stop loss sont fixés à l’avance, j’exécute dès que c’est atteint, je ne regarde même pas plus loin. Les autres s’accrochent à leurs croyances, moi je ne crois qu’en l’exécution. Le profit par trade n’est pas énorme, mais chaque trade me fait avancer.

**Enfin, traiter le trading comme un business.**
Je ne parie pas sur une direction, je joue la probabilité. Le taux de réussite n’est qu’un peu au-dessus de 50 %, la clé c’est de perdre peu et de gagner régulièrement. En trois mois, le capital a roulé comme une boule de neige, et dès que les intérêts composés démarrent, les 1 500 U deviennent 50 000.

Je ne dois rien à la chance, tout repose sur deux principes : **règles + exécution**.

Ce qui ruine vraiment, ce n’est jamais le marché, mais l’impulsivité, l’entêtement, la cupidité et les illusions. Tu veux te refaire ? Commence par corriger ces défauts.

Avec la bonne méthode, même une petite somme peut devenir grande ; si tu vas dans la mauvaise direction, même tout le capital du monde ne suffira pas à tes pertes. Recommencer, il n’est jamais trop tard.