Chaque année, plus de 25 milliards de dollars s’évaporent du commerce africain à cause de l’inefficacité des processus — un montant qui approche presque trois fois la capitalisation de LINK, le principal protocole RWA. Où est le problème ? Les processus commerciaux traditionnels sont toujours à l’ère du papier.

Aujourd’hui, pour effectuer un transport transfrontalier, il faut passer par :
• Plus de 30 organismes impliqués pour une seule opération
• Plus de 240 documents à remplir
• Le dédouanement peut prendre plusieurs semaines
• Des milliards de dollars gaspillés dans des étapes inefficaces

IOTA est en train de reconstruire ce système en profondeur grâce à la blockchain. Leur solution ADAPT transfère directement les processus commerciaux sur la chaîne, en s’appuyant sur le réseau L1 d’IOTA pour permettre :
• Une baisse drastique du taux d’erreur grâce à la numérisation des documents
• Une validation des données en temps réel sans confirmations répétées
• Un contrôle douanier des informations sur les marchandises en quelques secondes
• Une transparence et une traçabilité des données transfrontalières

Beaucoup pensent que le RWA consiste simplement à tokeniser des actifs et les mettre sur la blockchain, mais cela ne suffit pas — le vrai problème, c’est l’immobilisation des actifs. IOTA agit en profondeur : ils commencent par fluidifier les processus qui bloquent les actifs, en connectant tous les acteurs via une infrastructure numérique fiable.

Ce n’est que lorsque les données commerciales peuvent circuler efficacement sur la blockchain que le RWA peut vraiment se développer. La technologie ne doit pas être qu’un concept, elle doit résoudre des problèmes concrets, là où l’argent est réellement en jeu.