Cette manœuvre est vraiment claire à présent : ce n’est pas qu’ils ne voulaient pas faire de don, c’est juste qu’ils ne se sont pas pressés tant qu’ils n’avaient pas été pris la main dans le sac.

C’est comme ceux qui disent avant un examen « je n’ai pas révisé », puis sont les premiers à rendre leur copie. Une attitude passive qui met mal à l’aise.

Les 200 000 ont bien été versés, c’est vrai, mais cette « conscience de sage après coup », comment la compenser ? De nos jours, tout le monde sait ce que vaut une promesse.

Au final, la confiance, c’est ce qu’il y a de plus précieux dans une communauté. Une fois brisée, elle l’est pour de bon : même la colle la plus forte ne pourra rien y faire.